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François GUIBOURDIN

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Pour le kite et la voile traditionnelle c'est lui! Précurseur du kite en Guadeloupe, c'est aussi un ancien champion de planche à voile! Il vous fera partager ses passions et découvrir de nouvelles sensations!

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"Ancien champion de planche à voile, moniteur de kitesurf, coureur au grand  large… François Guibourdin aime relever les défis nautiques"

-Loupe magazine-

Quels sont les sports nautiques que tu as pratiqués? 


J’ai découvert la planche à voile à 11 ans grâce à l’UCPA qui était sur Saint-François, jusqu’à 24/25 ans cela a été mon sport principal. J’ai fait du canot traditionnel, du kitesurf, de la course au large, du Paddle. Dès qu’il y a une activité ou un défi nautique en Guadeloupe, je me sens capable d’y faire face. On dit souvent que le Guadeloupéen n’aime pas la mer, j’essaie de prouver que ce n’est pas vrai. Je suis né au bord de la mer, j’y ai grandi, j’ai aussi fait mon éducation ici avec les touristes, les gens qui passaient, j’ai connu beaucoup de choses grâce à cela.

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Quel est ton palmarès dans ces sports? 


J’ai obtenu une dizaine de titres de champion de Guadeloupe en planche à voile, deux titres de champion de France dont un en UNSS. J’ai battu le record du monde en salle à Bercy et à Barcelone. En voile traditionnelle, j’ai été le plus jeune à gagner le plus d’étapes sur un tour. J’ai fini neuvième en double sur la G2R, la course en bateau de Concarneau à Saint-Barth. Dernièrement, il y a eu la formation Guadeloupe Grand Large, une dizaine de jeunes ont été sélectionnés et j’en ai fait partie, même si je ne suis pas le plus jeune (rires), cela m’a permis de passer des brevets et de voyager à travers l’arc antillais.

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Qu’apprécies-tu dans le nautisme? 


Quand je prends mon matériel et que je regarde l’horizon, je vois un vide, ce n’est pas comme sur terre avec les gens, le bruit… Sur la mer, il n’y a pas de souci. J’aime l’espace, la solitude, l’évasion. Cette passion est devenue mon métier et un défi permanent. J’ai aussi besoin de la transmettre, de préparer la suite, d’être une sorte de relais pour les jeunes, et pas seulement de la vivre de façon égoïste.

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-François-

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